La blanquette de veau au Cookeo : ma version facile, rapide et pleine d’amour

Bon, soyons honnêtes : il y a des jours où on a envie de manger comme chez Mamie, mais sans passer trois heures en cuisine.

C’est là que mon Cookeo entre en scène, tel un super-héros du quotidien (cape en option mais vivement conseillée). Et aujourd’hui, c’est à la blanquette de veau que je m’attaque.

Oui, ce grand classique des dimanches midi, avec sa sauce onctueuse et ses petits légumes tendres… mais version 2025, simplifiée et twistée à ma sauce (c’est le cas de le dire).

Pourquoi la blanquette fait toujours un carton à la maison

Déjà parce que c’est bon, réconfortant, et que les enfants en redemandent (oui, même avec des carottes !).

Ensuite, parce que c’est une recette qui « fait sérieux », mais qui se laisse apprivoiser facilement quand on a un multicuiseur.

Et puis entre nous… ça en jette toujours un peu de dire : « J’ai fait une blanquette. » T’as pas besoin de préciser que tu n’as même pas transpiré pour la faire 😉

Les ingrédients (et deux-trois astuces de maman débrouille)

• 800 g de veau pour blanquette (épaule ou tendron, selon le budget du mois)
• 4 carottes (bio si possible, et sinon, on frotte bien la peau !)
• 1 oignon
• 1 bouquet garni (ou une version maison : laurier, thym, persil)
• 200 g de champignons de Paris
• 1 cube de bouillon de volaille
• 20 cl de crème fraîche épaisse
• 1 c. à soupe de farine
• 1 c. à soupe d’huile d’olive
• Sel, poivre (et amour, évidemment)

La recette pas à pas, testée (et validée par mon ado)

1. On sort le Cookeo, pas les casseroles

Dans la cuve du Cookeo, je fais revenir l’oignon émincé avec l’huile d’olive, en mode “dorer”. Quelques minutes plus tard, hop, j’ajoute les morceaux de veau. Pas besoin de les faire colorer à outrance, juste les saisir.

2. On ajoute les légumes

Carottes en rondelles, champignons émincés, le bouquet garni… je jette tout dans la cuve comme une magicienne dans son chaudron. Et pour lier un peu, une cuillère de farine.

Un petit coup de spatule pour éviter les grumeaux, puis j’ajoute 50 cl d’eau et le bouillon cube.

3. On lance la cuisson sous pression

Et c’est là que je souris : 25 minutes de cuisson sous pression, pendant lesquelles je peux enfin boire mon café chaud. Le vrai luxe parental.

4. La touche finale (et crémeuse)

À la fin de la cuisson, j’ouvre, je retire le bouquet garni (pas toujours glamour dans l’assiette) et j’ajoute la crème fraîche. Je rectifie l’assaisonnement, je touille, et… magie, c’est prêt !

Mes petits plus de maman improvisatrice

• Pas de crème ? J’ai déjà remplacé par un yaourt grec, ça passe crème justement.
• Je fais toujours un peu plus de sauce… pour la verser sur du riz ou des pâtes le lendemain. Les enfants adorent.
• Astuce zéro déchet : je garde le bouillon restant pour une soupe ou une cuisson de lentilles !

Les boulettes à éviter (et que j’ai déjà faites, évidemment)

• Mettre la crème avant la cuisson sous pression (spoiler : ça tourne et ça ne sent pas bon…)
• Oublier de saler (oui, le cube aide, mais faut goûter à la fin)
• Surcharger la cuve : 800 g, c’est suffisant, sinon ça devient de la soupe de viande

Avec quoi je sers cette merveille ?

Chez nous, c’est riz blanc ou pâtes fraîches, selon le niveau de flemme. Les jours de fête, je sors même les pommes de terre vapeur façon « comme chez Mamie ».

Et un petit verre de blanc sec pour les grands (à consommer avec modération, on est parents après tout 😉).

La blanquette, c’est la vie (et le Cookeo, mon meilleur pote)

Si on m’avait dit qu’un jour je ferais une blanquette en moins d’une demi-heure, je t’aurais ri au nez. Et pourtant, voilà. Ce plat, c’est un peu ma botte secrète : simple, généreux, qui fait plaisir à tout le monde sans me voler mon après-midi.

Et toi ? Tu l’as déjà testée version Cookeo ? Promis, une fois que tu auras vu les enfants saucer leur assiette, tu comprendras pourquoi j’ai écrit tout cet article avec le sourire.

La prochaine fois, je te parlerai peut-être de mon gâteau moelleux aux fraises… ou de mes essais ratés de tofu grillé (oui, j’ai osé). En attendant, régale-toi, et n’oublie pas : la cuisine, c’est surtout du plaisir, pas du stress ❤️