Gâteau poires chocolat

Gâteau moelleux poires et chocolat : le dessert dominical qui termine le repas en beauté

Ce gâteau poires chocolat est devenu mon dessert fétiche dès que l’automne pointe le bout de son nez.

Moelleux à souhait, fondant en bouche, avec ce mariage parfait entre le chocolat généreux et les poires juteuses qui apportent juste ce qu’il faut de fraîcheur.

Je le prépare presque chaque dimanche quand mes parents viennent déjeuner, et croyez-moi, il ne reste jamais une miette dans le plat.

Pourquoi ce gâteau est mon chouchou de l’automne

J’ai découvert cette recette complètement par hasard, un dimanche où j’avais des poires trop mûres qui m’appelaient depuis la corbeille de fruits.

Plutôt que de les laisser se perdre, j’ai eu l’idée de les marier avec du chocolat noir. Le résultat a dépassé toutes mes espérances !

Ce qui me plaît particulièrement dans ce gâteau, c’est sa texture incroyablement moelleuse qui reste parfaite même le lendemain. Pas de gâteau sec qui vous colle au palais, non. Ici, chaque bouchée fond littéralement dans la bouche grâce à l’humidité apportée par les poires.

Et puis, avouons-le, l’association poires-chocolat est juste magique. Les poires douces et fondantes contrastent divinement avec l’amertume du chocolat noir.

C’est réconfortant sans être écœurant, gourmand sans être trop lourd. Le dessert parfait pour conclure un repas dominical sans que personne ne se sente obligé de déboutonner son pantalon.

Les ingrédients pour un gâteau réussi (8 personnes)

La beauté de cette recette, c’est qu’elle ne nécessite que des ingrédients simples que vous avez probablement déjà dans vos placards. Voici ma liste complète :

  • 4 poires mûres (Williams ou Conférence, l’important c’est qu’elles soient bien juteuses)
  • 200g de chocolat noir (je prends du 70% de cacao, mais 60% fonctionne aussi)
  • 150g de beurre doux (plus 20g pour beurrer le moule)
  • 150g de sucre (je mets parfois 130g si mes poires sont très sucrées)
  • 3 gros œufs (à température ambiante, c’est important)
  • 100g de farine (type 45 classique)
  • 1 sachet de levure chimique (11g)
  • 1 pincée de sel
  • 2 cuillères à soupe de rhum (facultatif, mais ça apporte un petit plus)

Petit secret de chef : je garde toujours une poire de côté pour la décoration. Coupée en lamelles et disposée joliment sur le dessus avant la cuisson, elle rend le gâteau absolument irrésistible visuellement.

On mange d’abord avec les yeux, comme on dit !

Pour le chocolat, ne lésinez pas sur la qualité. J’ai longtemps utilisé du chocolat pâtissier bas de gamme avant de comprendre que c’était lui qui donnait ce goût un peu plat à mes gâteaux.

Depuis que je prends du bon chocolat noir, la différence est spectaculaire.

La préparation étape par étape (tellement simple !)

Préparer les poires et le chocolat (15 minutes)

Je commence toujours par préchauffer mon four à 180°C (chaleur tournante). Pendant qu’il chauffe, je beurre généreusement mon moule rond de 24 cm de diamètre. Je ne farine pas le moule, je trouve que ça laisse une pellicule blanche pas très esthétique.

Ensuite, je m’attaque aux poires. Je les épluche, retire les pépins et les coupe en petits cubes d’environ 1,5 cm.

Ne les coupez pas trop finement, sinon elles vont se désintégrer à la cuisson et vous perdrez ce plaisir de croquer dans des morceaux fondants.

Pour le chocolat, je le casse en morceaux et je le fais fondre au bain-marie avec le beurre coupé en dés. Je remue doucement avec une spatule en bois jusqu’à obtenir un mélange bien lisse et brillant. L’odeur qui se dégage à ce moment-là… un pur bonheur !

Mon astuce pour éviter que le chocolat ne brûle : je retire la casserole du feu dès que le mélange est aux trois quarts fondu. La chaleur résiduelle finira le travail tout en douceur.

Un chocolat brûlé est irrécupérable et donnera un goût amer à votre gâteau.

Monter la pâte (10 minutes)

Dans un grand saladier, je fouette énergiquement les œufs avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse et devienne bien mousseux. Ça prend environ 3-4 minutes au batteur électrique.

Cette étape est cruciale car c’est elle qui va apporter du volume et du moelleux au gâteau.

J’ajoute ensuite le chocolat fondu (qui aura légèrement tiédi) en continuant de fouetter. Le mélange va se lisser et prendre une magnifique couleur chocolat brillante. À ce stade, je ne peux jamais m’empêcher de goûter une petite cuillère… pour vérifier, bien sûr !

Je tamise la farine avec la levure et le sel directement au-dessus du saladier. Tamiser la farine n’est pas une étape à négliger, elle évite les grumeaux et rend la pâte plus aérée. J’incorpore délicatement avec une maryse en faisant des mouvements du bas vers le haut, sans fouetter pour ne pas casser les bulles d’air.

Si j’utilise du rhum, c’est maintenant que je l’ajoute, juste avant d’incorporer les poires.

Les morceaux de fruits sont délicatement mélangés à la pâte en dernier, toujours avec la maryse.

La pâte doit rester bien onctueuse.

Cuisson et finitions (45 minutes)

Je verse la pâte dans mon moule beurré en lissant bien la surface avec le dos d’une cuillère. Si j’ai gardé une poire pour la déco, c’est le moment de disposer les lamelles en rosace ou en lignes sur le dessus.

Direction le four préchauffé pour 40 à 45 minutes de cuisson. L’odeur qui envahit la cuisine pendant ce temps… mes enfants savent immédiatement que c’est jour de gâteau poires-chocolat et viennent rôder dans la cuisine !

Pour savoir si c’est cuit, j’utilise la bonne vieille méthode de la lame de couteau : je la plante au centre du gâteau et elle doit ressortir légèrement humide mais pas liquide.

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Si elle ressort complètement propre, votre gâteau risque d’être trop sec. Mieux vaut un gâteau légèrement sous-cuit que trop cuit.

Je laisse tiédir 10 minutes dans le moule avant de démouler sur une grille. Ce temps de repos est essentiel : si vous démoulez trop tôt, le gâteau risque de se casser. La patience est une vertu, surtout en pâtisserie !

Mes variations gourmandes testées et approuvées

Après avoir fait ce gâteau des dizaines de fois, j’ai testé plusieurs variations qui fonctionnent toutes à merveille. Voici mes préférées :

  • Version épices douces : j’ajoute une cuillère à café de cannelle en poudre et une pointe de gingembre à la pâte
  • Touche croquante : je parsème des éclats de noisettes torréfiées sur le dessus avant cuisson
  • Extra fondant : j’ajoute 50g de pépites de chocolat noir dans la pâte pour des surprises chocolatées
  • Version festive : je flambe les poires au cognac avant de les incorporer (réservé aux repas d’adultes !)
  • Poires pochées : je poche mes poires dans un sirop vanillé avant de les intégrer, effet garanti

Ma variation préférée reste celle avec les épices. La cannelle et le gingembre apportent une chaleur qui sublime le chocolat et les poires.

C’est mon gâteau de Noël par excellence, celui que tout le monde réclame pendant les fêtes.

J’ai aussi tenté une version avec des poires caramélisées : je les fais revenir rapidement à la poêle avec un peu de beurre et de cassonade avant de les incorporer.

Le caramel apporte une dimension supplémentaire absolument divine.

L’erreur fatale que j’ai longtemps commise

Pendant des mois, je me demandais pourquoi mon gâteau avait tendance à retomber au démoulage et à être un peu compact.

J’ai fini par comprendre mon erreur : je fouettais trop la pâte après avoir ajouté la farine.

En pâtisserie, une fois que la farine est incorporée, il faut y aller tout en douceur. Un mélange trop vigoureux développe le gluten et rend le gâteau élastique et dense au lieu de moelleux.

Maintenant, j’utilise une maryse et je fais des gestes délicats, presque tendres. Résultat : un gâteau aérien qui fait rêver.

Autre erreur que j’ai faite au début : utiliser des poires pas assez mûres. Des poires dures vont rester dures à la cuisson et ne vont pas apporter cette texture fondante qui fait tout le charme du gâteau.

Vos poires doivent être mûres à point, elles doivent céder légèrement sous la pression du doigt.

Et puis, j’ai aussi eu ma période où je sortais mes œufs directement du frigo. Grossière erreur ! Les œufs froids ne s’incorporent pas aussi bien et la pâte est moins aérée.

Maintenant, je les sors toujours une heure avant de commencer ma recette.

Comment conserver ce petit trésor

Si par miracle il vous reste du gâteau (chez moi, c’est rarissime !), il se conserve parfaitement pendant 4 à 5 jours. Je le garde dans une boîte hermétique à température ambiante.

Ne le mettez surtout pas au frigo, il durcirait et perdrait tout son moelleux.

En fait, je trouve même qu’il est encore meilleur le lendemain. Les saveurs ont eu le temps de se mélanger, les poires ont imprégné toute la pâte, c’est juste parfait. Mon petit rituel du lundi matin : une tranche de ce gâteau avec mon café avant de commencer la journée.

Vous pouvez aussi le congeler, découpé en parts individuelles. Je l’emballe dans du film alimentaire puis dans du papier aluminium. Il se conserve jusqu’à 3 mois au congélateur.

Pour le déguster, laissez-le décongeler doucement à température ambiante pendant 2-3 heures.

Mon astuce pour le réchauffer : 10 secondes au micro-ondes et il redevient tout fondant.

Avec une boule de glace vanille, c’est le dessert express qui fait toujours son petit effet quand des amis passent à l’improviste.

Les accompagnements qui subliment le gâteau

Nature, ce gâteau est déjà délicieux, mais j’aime parfois le sublimer avec quelques accompagnements gourmands :

  • Crème anglaise maison : tiède, elle se marie divinement avec le chocolat encore chaud
  • Chantilly vanillée : légère et aérienne, elle apporte de la fraîcheur
  • Glace vanille ou caramel beurre salé : le chaud-froid est un régal
  • Coulis de fruits rouges : framboises ou fruits des bois pour une touche acidulée
  • Crème fraîche épaisse : toute simple, juste un nuage sur le côté

Mon accompagnement préféré reste la crème anglaise maison. Oui, c’est un peu plus de travail, mais le résultat en vaut tellement la peine.

La crème onctueuse qui enrobe chaque bouchée de gâteau… c’est le paradis dans l’assiette !

Pour les grandes occasions, je saupoudre aussi un peu de cacao amer sur le dessus juste avant de servir.

Ça donne un côté pro à la présentation et ça intensifie le goût chocolat. Un petit détail qui fait toute la différence.

Quelles poires choisir et quand les acheter

La saison des poires s’étend de septembre à mars, c’est donc le moment idéal pour préparer ce gâteau.

J’ai testé plusieurs variétés et voici mon classement personnel :

Les poires Williams sont mes préférées pour cette recette. Juteuses, parfumées, elles fondent parfaitement à la cuisson. Elles sont disponibles de fin août à octobre.

Les poires Conférence font aussi très bien l’affaire, elles sont plus fermes et tiennent mieux la cuisson.

Les poires Comice sont excellentes mais parfois trop juteuses et rendent le gâteau un peu trop humide.

Les Beurré Hardy sont parfaites aussi, avec leur texture fine et leur goût délicat.

Évitez les poires trop dures comme les Passe-Crassane qui ne ramolliront pas assez à la cuisson.

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Mon truc pour accélérer le mûrissement de mes poires ? Je les mets dans un sac en papier avec une pomme. L’éthylène dégagé par la pomme va faire mûrir les poires plus rapidement. En 2-3 jours, elles sont parfaites pour mon gâteau.

Le secret d’un chocolat bien fondu

Le chocolat, c’est un peu ma passion. J’ai mis du temps à maîtriser l’art de le faire fondre correctement. Voici mes règles d’or pour ne jamais rater cette étape cruciale :

Toujours utiliser un bain-marie. Jamais de micro-ondes pour ce gâteau, on perd trop en contrôle. L’eau frémissante ne doit jamais toucher le fond du récipient qui contient le chocolat. La vapeur suffit largement.

Je casse mon chocolat en petits morceaux réguliers pour qu’ils fondent tous à la même vitesse.

J’ajoute le beurre dès le début, coupé en dés. Je remue constamment avec une spatule en bois (jamais en métal qui conduit trop la chaleur).

Si une goutte d’eau tombe dans votre chocolat, c’est la catastrophe. Il va se solidifier en une masse granuleuse. Mon astuce si ça arrive ?

Ajoutez immédiatement une cuillère à soupe d’huile neutre et fouettez vigoureusement. Ça peut sauver la situation.

Adapter la recette selon les saisons

Même si ce gâteau est typiquement automnal, je le décline toute l’année en changeant les fruits. Au printemps, je remplace les poires par des abricots frais coupés en quartiers. En été, ce sont les cerises dénoyautées qui prennent le relais.

L’hiver, quand les poires sont à leur meilleur, j’ajoute parfois quelques morceaux de poires pochées au vin rouge.

Le mariage du vin épicé avec le chocolat est absolument magique. C’est ma version festive pour les repas de Noël.

J’ai même testé avec des pommes, mais franchement, le résultat n’était pas à la hauteur. Les pommes sont trop acides et ne s’accordent pas aussi bien avec le chocolat. Les poires restent irremplaçables pour ce gâteau.

Une version d’été qui cartonne à la maison : pêches blanches et chocolat au lait. Plus doux, plus fruité, parfait avec une boule de glace framboise. Les enfants en raffolent et redemandent systématiquement.

Mes astuces pour un démoulage parfait

Le démoulage, c’est toujours un moment de stress. Après tout ce travail, personne n’a envie de voir son gâteau se casser en mille morceaux ! Voici comment je procède pour un démoulage impeccable à tous les coups :

Je laisse toujours mon gâteau tiédir exactement 10 minutes dans le moule. Pas plus, pas moins. Trop chaud, il va se désintégrer. Trop froid, il va coller au moule.

Je passe une lame de couteau fine tout autour du gâteau, entre le bord et le moule. Des mouvements doux, sans forcer. Puis je retourne d’un coup sec le moule sur ma grille de refroidissement.

Si vraiment le gâteau résiste, je retourne le moule quelques secondes au-dessus de la flamme de ma gazinière (ou je passe un torchon chaud dessous).

La chaleur va faire fondre légèrement le beurre et libérer le gâteau. Ça marche à tous les coups !

Depuis que j’utilise du papier sulfurisé au fond de mon moule, je n’ai plus jamais eu de problème de démoulage.

Je beurre les bords et je tapisse le fond de papier. C’est une petite sécurité qui change tout.

Ce gâteau dans mes souvenirs d’enfance

Ce gâteau me rappelle les dimanches chez ma grand-mère. Elle faisait un gâteau similaire, avec les poires de son jardin et du chocolat qu’elle gardait précieusement dans son buffet.

L’odeur qui s’échappait de son four me rendait fou d’impatience !

J’ai retrouvé sa recette griffonnée sur un vieux carnet et je l’ai adaptée à ma façon. J’ai réduit le sucre, ajouté de la levure pour plus de moelleux, testé différentes cuissons. Mais l’esprit du gâteau de mamie est toujours là.

Maintenant, c’est moi qui perpétue la tradition. Chaque dimanche où je fais ce gâteau, je pense à elle. Et je vois mes propres enfants qui attendent avec la même impatience que moi autrefois.

C’est ça aussi, la magie de la cuisine : transmettre des souvenirs, créer des traditions familiales.

Ma fille de 7 ans commence à m’aider à le préparer. Elle adore couper les poires en petits cubes (sous surveillance, bien sûr !).

Elle comprend déjà que la cuisine, ce n’est pas qu’une question de recette. C’est aussi des moments partagés, des rires, des souvenirs qui se créent.

Un dessert qui rassemble autour de la table

Ce qui me touche le plus avec ce gâteau, c’est sa capacité à faire l’unanimité. Les enfants l’adorent pour le chocolat, les adultes pour le mariage subtil avec les poires. Les gourmands se resservent, les plus raisonnables craquent quand même pour une deuxième tranche.

Il n’y a rien de prétentieux dans ce gâteau. Pas de technique compliquée, pas d’ingrédients introuvables. Juste de bons produits, un peu d’amour et la magie opère. C’est exactement ce que j’aime dans la pâtisserie familiale.

Alors oui, il existe des desserts plus sophistiqués, plus impressionnants visuellement. Mais celui-ci a cette sincérité, cette authenticité qui touchent le cœur. Quand je le sers encore tiède, avec la crème qui fond dessus, je vois les regards qui s’illuminent.

C’est ça, le bonheur simple d’un bon dessert fait maison. Pas besoin de fioritures, juste du goût, du moelleux, et cette satisfaction de voir les assiettes vides à la fin du repas.

Ce gâteau poires chocolat, c’est un peu mon câlin dominical en version comestible. Et franchement, on en a tous besoin, non ?

Résumé de la recette

Temps de préparation

  • Préparation des ingrédients : 15 minutes

  • Montage de la pâte : 10 minutes

  • Cuisson au four : 40-45 minutes

  • Temps de repos : 10 minutes

  • Temps total : environ 1h20
Ingrédients

  • 4 poires mûres (Williams ou Conférence)

  • 200g de chocolat noir (60-70% cacao)

  • 150g de beurre doux + 20g pour le moule

  • 150g de sucre

  • 3 gros œufs à température ambiante

  • 100g de farine type 45

  • 1 sachet de levure chimique (11g)

  • 1 pincée de sel

  • 2 cuillères à soupe de rhum (facultatif)

Matériel nécessaire

  • Moule rond de 24 cm de diamètre

  • Casserole pour le bain-marie

  • Saladier et fouet ou batteur électrique

  • Spatule en bois et maryse

  • Tamis pour la farine

  • Grille de refroidissement

Conservation

  • À température ambiante : 4 à 5 jours dans une boîte hermétique

  • Ne pas conserver au réfrigérateur (perd son moelleux)

  • Congélation possible : jusqu’à 3 mois en parts individuelles

  • Décongélation : 2-3 heures à température ambiante

  • Encore meilleur le lendemain

Conseils de réussite

  • Utiliser des poires mûres à point pour un fondant optimal

  • Sortir les œufs du frigo 1 heure avant

  • Faire fondre le chocolat au bain-marie, jamais au micro-ondes

  • Ne pas trop fouetter après l’ajout de la farine

  • Vérifier la cuisson à la lame de couteau (légèrement humide)

  • Laisser tiédir 10 minutes avant de démouler

  • Servir tiède avec une boule de glace vanille

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Julie

Je suis Julie, une parisienne de 30 ans passionnée par la cuisine du quotidien. Mon credo ? Rendre la cuisine accessible à tous, même aux plus novices !

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